Comment J'Y Suis Venu Ep 4 : Dispositif Maison
COMMENT J'Y SUIS VENU
EP 4 : DISPOSITIF MAISON
Il ne me restait plus qu'à l'essayer. Je prenais le temps de l'inspecter, de l'examiner longuement. Jemboîtais les différentes parties, elles s'ajustaient parfaitement. J'étais content de moi. Ça faisait bien deux mois que je ne pensais qu'à ça et maintenant j'hésitais. Ce jour là je ne travaillais pas et nous étions tôt dans l'après midi. Je ne m'étais branlé que trois fois depuis ce matin.
J'imaginais ce truc entre mes cuisses, je me voyais avec, je me demandais ce qu'on pouvait ressentir après une longue période avec ce truc sur soi. Finalement je me décidais
Je passais en premier le cock-ring puis sur ma lancée avant de bander trop fort, j'enfilais ma queue dans la le '' Tuge '', ça va je rigole ! Je voulais dire dans le tube de chasteté. Mes premières impressions étaient favorables. Le truc semblait être à la bonne taille. Rien ne pinçait la peau. Pas de douleurs, pas de pression excessive contre ma queue comme avec l'autre dispositif. Je commençais à bander !
Je m'assurais que je pouvais glisser un doigt pour pouvoir me laver. Bon au tout début ça marchait mais rapidement ça ne marchait plus. Je bandais et là ma bite occupait toute la place, rien ne passait. En même temps je sentais la pression qui commençait à écraser ma queue. Une pression régulière sur toute la longueur de ma bite, sur tous les côtés en même temps. Finalement c'était pas désagréable !
La sensation était très différente de la première fois. Je verrouillais le cadenas et je m'admirais un long moment devant un miroir. A ce moment je bandais ferme, avec un doigt j'appuyais sur la peau au niveau des ouvertures d'aération, la peau ressortait et faisait comme des bulles mais c'était sans douleur. Le dispositif se relevait devant moi, normal il était sous pression et quand elle est sous pression une bite, ça se relève.
C'était cool.
Tout content je sortais de chez moi et j'allais dans mon bar habituel pour prendre un verre. J'y trouvais plusieurs copines, Didier était là. Il a une grosse queue Didier et je bandais à cette idée. Ma cage de chasteté se manifestait alors, je la sentais bien, c'était sans douleur, sans gêne, c'était bandant, c'était une sensation agréable. Je passais devant la porte d'entrée et je pouvais constater dans mon reflet que c'était toujours totalement invisible. Ça mexcitait encore plus et je bandais encore plus fort. Je le sentais bien le dispositif, je ne sentais plus que ça et ça devait durer toute la soirée
Je vous dis pas c'était le pied !
Sauf que j'ai pas pu terminer la soirée chez Didier, il a une grosse bite Didier, j'aurais bien aimé terminer la soirée chez Didier et me faire enculer comme ça, vite fait, juste pour le plaisir surtout qu'il a une grosse bite Didier mais je me suis rendu compte que j'avais oublié la clé
J'osais pas montrer mon truc à tout le monde
Même si Didier c'est pas tout le monde et qu'il a une grosse queue. Enfin, la frustration fait partie du jeu et là j'étais servi !
De retour à la maison j'étais vraiment excité, je bandais à mort dans mon dispositif et toujours pas de douleur. C'était bien un problème de taille ! Je me déshabillais et regardais le résultat devant un miroir. C'était bien rempli, il y avait de la pression. La peau de ma queue faisait des bourrelets qui ressortaient par les ouverture d'aération, ça coinçais un peu à cet endroit mais sans plus. Avec un doigt je tâtais et je constatais que ma queue était en érection totale. Elle était totalement coincée dans le dispositif. La cage était plus étroite à son ouverture aussi la queue en gonflant se bloquait d'elle-même à l'intérieur et n'avait pas le réflexe de sortir ce qui avec l'autre dispositif provoquait un pincement et des douleurs.
J'allais me coucher avec. J'avais un peu la trouille de me réveiller complètement endolori. Je posais donc la clé sur ma table de nuit et je faisais bien. Vers une heure du matin une érection nocturne me réveillait, la sensation était mitigée, ça ne me faisait pas aussi mal qu'avec l'autre dispositif mais c'était loin d'être confortable, je préférais ne pas insister et je retirais le truc. Aussitôt je bandais, je ne me masturbais pas ( j'arrête pas de vous dire que ça vous transforme ce genre de truc, je ne suis pas le même homme maintenant ). Je me rendormais rapidement ! Le reste de la nuit se passait bien et le lendemain matin je me réveillais avec une belle érection, le genre d'érection que je n'avais pas eu depuis
Depuis la veille au matin, finalement peut être pas plus.
Ça m'avait énervé cette histoire aussi le soir même je décidais de me défouler un peu et je sortais. J'allais draguer dans un bar, pas celui que je fréquente habituellement un autre bar un peu moins distingué, un peu moins bien fréquenté
Là bas, c'est des sauvages !
Un bar avec une back-room c'est pas si fréquent
Pour une boite de nuit je ne dis pas. N'importe quel établissement convenable en a une ! Mais là c'était un bar. Le bar au rez de chaussée, un labyrinthe en sous sol, cabines ( pour ceux qui voudraient se faire un câlin en tête à tête ) une scène, des sièges tout autour, quelques accessoires rigollots, une croix, un hamac ( enfin je dis hamac mais c'est pas fait pour roupiller ).
Ici les mecs viennent en tenue de cuir, avec des chaînes, des fouets et
des trucs qui font peur ! Bon je trouve ça excitant mais je suis pas toujours convaincu. Je m'approchais du bar et commandais une bière. J'étais pas fier, en fait je ne connais pas vraiment cet endroit et au fond de moi je me demandais à quelle sauce j'allais être mangé, je me demandais même si quelqu'un voudrait me manger
Un homme m'abordait
Lui : Tu n'est pas un habitué toi ici ?
Moi : Euh ! Non
Lui : Et tu cherche quoi ?
Moi : Bein, je sais pas moi !
Lui : Tu devrais venir un vendredi soir, il y a toujours des soirée spéciales !
Moi : Vendredi
Ok
Lui : Remarque si tu veux, on peut aussi te proposer
Suis moi !
Il se dirigeait vers les escaliers qui conduisaient au sous sol.
Il ne se retournait même pas pour vérifier si je le suivais, il semblait s'en moquer . Il avançait jusqu'au milieu d'une des salles du sous sol. Il se retournait enfin, me regardait et me faisait signe d'approcher. Je tremblais mais je l'y retrouvais.
Lui : Met toi torse nue !
Je m'exécutais. Quelqu'un récupérait mes affaire et les rangeait dans un sac en me garantissant que personne n'y toucherait. '' On est des barbares pas des sauvages
'', il me disait.
Le premier me prenait dans ses bras, il prenait mes deux main et les plaçait au dessus de ma tête, les bras levés vers le plafond. '' Reste comme ça ! '' je ne bougeais pas, je bandais à mort ! Il s'approchait de moi et me donnait un baiser très tendre puis me recouvrait les yeux. Je ne voyais plus rien. Un autre homme s'approchait dans mon dos, me caressait tout le corps. Deux autres hommes s'approchaient, un à ma droite l'autre à ma gauche. Leurs mains me caressaient, me pinçaient les tétons. Un bruit métallique résonnait et je sentais des menottes autour de mes poignées. J'étais attaché les deux bras en l'air !
Les caresses se faisaient plus violentes, plus fortes
Ils me pinçaient le corps, mais il le faisaient dans le but de faire mal et je commençais à me tortiller et à râler. On me passait un bâillon, c'était un truc en caoutchouc, une sorte de barre fermement attachée par une sangle qui passait derrière ma tête. Je pouvais toujours râler, gueuler mais je ne pouvais plus articuler. J'entendais : '' C'est mieux comme ça ''
Je recevais alors un coup de fouet ou de je ne sais quoi dans le dos, c'était violent et ça claquait fort. Je me raidissais puis me débattais, je gueulais, je râlais, je les entendais rire
Suivaient deux coup de ceinture, finalement c'était une ceinture. Puis une dizaine d'affilé. Je ne gueulais plus, je gémissais
On m'ouvrait mon pantalon, je râlais de nouveau et recevais aussitôt dix autres coups de ceinture.
Un main me caressait le torse avec douceur, s'arrêtait sur un de mes téton et me pinçait très fort, me faisait très mal, je gueulais et recevais aussitôt dix coups de ceinturon. J'avais compris que je devais la fermer. On me pinçais de nouveau un téton, je serrais les dents
Finalement il me posait un truc qui pinçait, une pince à linge ou un truc dans ce genre. Puis l'autre téton. Je sentais un mouvement autour de moi. Une caresse, un baiser, quelquefois un baiser tendre même puis une pince à linge. Au bout d'un moment qui me semblait une éternité je devais être recouvert de quelques dizaines de pinces à linge ! J'étais nu et je bandais comme un fou.
Je sentais une caresse sur ma bite, là je tremblais. Ils vont me faire quoi ?
Finalement on me suçait la queue. Là j'avais plus envie de gueuler, c'était bon. Une main me frappait violemment les fesses, une fois puis deux puis trois fessées, quatre
et ainsi de suite jusqu'à dix avec une pause de quelques secondes entre chaque séries. Pour finir je sentais un doigt qui se glissait entre mes fesses, bien lubrifié il entrait sans problème dans mon cul ! Il était suivi d'un autre doigt puis d'un troisième. Devant moi le mec me suçait toujours. Il se retirait, j'avais je ne sais combien de pinces à linge sur le ventre, le torse et le côté de mon corps.
Je recevais alors une série de dix coups de ceinture sur le dos puis sur les fesses. Une pause et on recommençait, encore une fois. Un mec s'approchait à moi, m'enfonçais sa queue dans le cul, je râlais de surprise autant que de douleur, il était bien membré le gars et il n'était pas tendre. Il me prenait dans ses bras décrochant dans ce geste un bon nombre des pinces à linge. Au travers de mon bâillon je hurlais, il me pinçait alors là ou il y avait des pinces à linge, ses copains en faisaient de même et il m'enculait avec force, il me défonçait le cul sans ménagement. Ça faisait un mal de chien
Pas au cul, ça j'aime bien en général, mais là ou il y avait les pinces à linge c'est sensible, très sensible
Je me tordais dans tous les sens, j'essayais de me dégager, je gueulais, je râlais, je pleurais à moitié.
J'entendais un bruit bizarre, une voix plus forte que les autres mais je ne comprenais pas ce qui se disait. Plus personne ne me touchait, même le gars qui quelques instants plus tôt me défonçait le cul se retirait avec douceur. Je ne comprenais pas ce qui se passait.
Le premier homme que j'avais suivi me retirait mon bandeau et me demandait
'' Tu n'est pas l'invité ?'' . Je faisais non de la tête et tentais de lui expliquer que je ne savais pas ce que ça voulait dire. Sans plus attendre quelqu'un me décrochait mon bâillon, je râlais
'' Excuse nous bonhomme mais on t'a pris pour quelqu'un d'autre
'' . Tout le monde éclatait de rire !
'' Tu veux continuer ? ''
Je faisais non de la tête.
La chaîne qui me retenait les mains se relâchait, on m'ouvrait le menottes et on me guidait vers un siège sur le côté de la scène. On me donnait des claques sur les épaules mais c'étaient des claques amicales, des claques d'excuse, celles là ne faisaient pas mal !
Un homme s'approchait de moi, il était super bien montré le gars et je regardais sa queue autant avec effroi qu'avec fascination
'' Dommage ! C'est que je commençais à bien m'amuser moi ! ''
Moi : C'est toi qui m'enculait tout à l'heure ?
Il me faisait oui de la tête !
Moi : Même pas mal, même pas peur !
Lui : Tu veux qu'on continue ?
Je lui faisais oui de la tête.
Sans attendre il m'allongeait sur le dos, me relevait les jambes il plaçait mes chevilles au niveau de ses épaules et sans plus de formalité me défonçait le cul, il venait d'en sortir, il y retournait ! Il ne retenait pas ses coups et je râlais quand il y allait trop fort mais j'encaissais tout. Il finissait pas jouir dans mon cul avant de se laisser retomber sur moi. Je me retrouvais complètement replié sur moi-même, sous lui ! Plié en deux et un peu écrasé, ma situation n'était pas vraiment confortable mais j'acceptais la situation avec complaisance
Je l'avais un peu cherché.
Pendant ce temps le jeux dont j'avais été victime reprenait, l'invité était arrivé et on m'invitait à rester pour regarder le spectacle et même y participé. J'ai posé quelques pinces à linge, et j'ai donné quelques séries de coup de ceinturon. Je l'ai fait couiner le mec mais il était consentant
Il aimait ça même, moi je doit dire que je n'avais que très moyennement apprécié
Très moyennement sauf peut être la fin quand je m'étais fait défoncé le cul !
J'étais toujours à poil, mes vêtements étaient en sécurité, j'avais pris mon pied en me prenant la queue du gars bien à fond mais je ne m'étais pas branlé, je n'avais pas éjaculé, je n'avais pas vraiment joui avec ma queue. C'était pas dans mes habitudes, ça se terminait toujours par une belle éjaculation avec moi, toujours !
Il commençait à se faire tard, je quittais les lieux. Je me sentais bien finalement, c'étaient pas des sauvages ni des barbares les mecs dans ce bar, je retournerai les voir un de ces jours, c'est sûr. Je ne m'étais pas branlé depuis la veille dans la matinée ! Ça aussi c'était nouveau !
Deux jours plus tard j'avais toujours ces images dans ma tête. J'avais du me branler une dizaines de fois en deux jours, comme d'habitude et je me décidais à essayer une nouvelle fois le dispositif fait maison. C'était le soir juste avant de me coucher, je m'étais branlé deux fois seulement dans la journée. J'enfilais le dispositif bien décidé à le garder au moins toute nuit et même plus si possible.
Cette nuit là je ne dormais pas vraiment bien. Je me réveillais plusieurs fois dans la nuit, je me levais pour faire une pause pipi à chaque fois, et ça me soulageait, à chaque fois je me rendormais rapidement. Au matin il y avait de la pression dans la cage. Une révolte ! Une tentative d'évasion ? Je ne sais pas mais en tout cas ma queue protestait par le seul moyen qu'elle avait
LÉrection !
Je choisissais de ne pas répondre, on commence par répondre à ce genre de provocation et ça se termine toujours de la même manière
Tout le monde connaît ça
Enfin tout le monde, peut être pas, les filles je ne crois pas
D'abord on se branle ensuite on éjacule !
Donc ce matin là, c'était la première fois depuis bien longtemps que je ne suis pas branlé. L'érection du matin est restée la première frustration, celle de ne pas pouvoir se manifester et celle de ne pas me faire plaisir. Ce plaisir que je m'étais refusé, j'y ai pensé toute la journée. J'ai bandé toute la journée dans le dispositif car je l'ai gardé jusqu'au soir !
Le soir j'en pouvais plus, il faut pas déconner nom plus ! La chasteté c'est bien mais uniquement si on peut se branler au moins une fois par jour
Non ?
J'ai dit une connerie là ?
Je prenais mon temps pour me branler, je suis un pro moi. Je ne me pressais pas, j'y allais tout doucement. Je bandais bien ferme et les sensations étaient fortes, je me retenais, j'arrêtais et reprenais mon souffle. Dix fois, cent fois, mille fois j'ai failli jouir, éjaculer trop tôt
Bon peut être pas mille fois remarquez, j'en rajoute peut être un tout petit peu là. Mais bon, mes sensations étaient un peu différentes de ce que je connaissais, le plaisir montait plus vite, la sensibilité de mon gland semblait plus grande. Et quand j'ai senti que je ne contrôlais plus rien je me suis lâché, je m'astiquais le manche avec les deux mains, j'étais allongé sur mon lit et j'en ai pris plein la figure
C'était cool !
C'est vraiment jouissif la chasteté, je sais pas si c'est moi mais j'avais joui comme rarement. Peut être que la qualité est plus important que la quantité ? Jusque là j'ai tous misé sur la quantité
Mais d'un autre côté la quantité c'est bien aussi
Ce soir là j'ai remis ça encore deux fois.
Je faisais une pause, j'étais rassasié. Je rangeais mon dispositif dans ma table de nuit, soigneusement et douillettement posé dans une petite boite en carton
Il faudra que j'en fabrique une à la hauteur de mon dispositif, un peu plus classe qu'un bête boite en carton.
C'est seulement au bout de deux semaines que j'ouvrais à nouveau le tiroir de ma table de nuit. Je n'avais pas oublié ce que j'y avait rangé mais
Je ne sais pas pourquoi je n'avais pas fantasmé sur la chasteté pendant tout ce temps. Deux ou trois mecs par semaine et pas plus de cinq branlettes par jour
Je me sentais déjà beaucoup plus chaste, beaucoup plus retenu qu'au début de mon histoire
Vous ne trouvez pas ?
Je cherchais je ne sais plus quoi dans ma table de nuit, c'était pas les capotes ça c'est sûr, je les range dans la niche de la table de nuit, j'ai une boite taille familiale ( je les achète par boite de 150, j'aime pas manquer ). Enfin bref c'est pas grave, je retrouvais la petite boite contenant mon dispositif de chasteté fait maison. Un violente envie me prenait, comme si ma bite me lançait un appel. En quelques secondes sans même réfléchir, ça m'arrive souvent de faire des trucs comme ça , sans réfléchir. Je baissais mon pantalon, je passais le cock-ring et glissais ma queue dans la cage que je verrouillais aussitôt ! J'avais fait ça en quelques instants, sans réfléchir
On sonnait à la porte.
Je remontais mon pantalon, rangeais la boite ou elle était et allais ouvrir. Tout s'était passé si vite que je n'avais même pas eu le temps de bander, c'est à peine si ma queue commençait à durcir au moment ou je refermais le dispositif. Je me sentais bien, mais au bout de quelques instants je sentais la pression de la cage contre ma queue.
Je bandais au moment ou j'ouvrais la porte ...
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